ut Ribociclib succinate (254.40 mg) (w)
Cellulose microcristalline (H)
Hydroxypropylcellulose substituée à bas (H)
Crospovidone (H)
Magnésium stéarate (H)
Silice colloïdale anhydre (H)
enrobage:
Alcool polyvinylique (H)
Talc (H)
Lécithine (E322) (H)
gomme xanthane (H)
Titane dioxyde (E171) (H)
Oxyde de fer noir (E172) (H)
Oxyde de fer rouge (E172) (H)
pro compr. obduct.
Antinéoplasiques > Inhibiteurs de protéines kinases > Inhibiteurs de CDK > Ribociclib
Indication avec autorisation à durée limitée: traitement adjuvant du cancer du sein positif aux récepteurs hormonaux et HER2 négatif de stade II ou III ayant un risque élevé de récidive chez les femmes dès 18 ans en association à un inhibiteur de l'aromatase (femmes pré-ménopausées ou péri-ménopausées: combiner l'inhibiteur de l'aromatase avec un agoniste de la LHRH).
Cancer du sein avancé ou métastatique: >18 ans: 600 mg 1×/j. aux jours 1–21 d'un cycle de 28 j.
Cancer du sein de stade II ou III: >18 ans: 400 mg 1×/j. aux jours 1–21 d'un cycle de 28 j.
• en association avec un inhibiteur de l’aromatase en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne chez les femmes ou une monothérapie avec tamoxifène chez les hommes n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. Chez les femmes postménopausées et les hommes, l’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.01
• en association avec le fulvestrant en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne chez les femmes ou une monothérapie avec tamoxifène chez les hommes n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. L’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.02
• en association avec le fulvestrant en première ligne, en cas de récidive pendant la thérapie endocrinienne néoadjuvante ou adjuvante ou dans les 12 mois après l’arrêt de la thérapie endocrinienne adjuvante.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.03
• en association avec le fulvestrant en deuxième ligne, lorsque la thérapie endocrinienne a déjà été utilisée au stade métastatique en première ligne.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.04
Aucune utilisation en cas de progression après une thérapie antérieure avec un inhibiteur des kinases cycline-dépendantes (CDK) 4 et 6.
Les patients devraient être traités jusqu’à progression de la maladie.
Pour chaque boîte de Kisqali achetée, Novartis Pharma Schweiz AG rembourse une partie fixe du prix de fabrication à l’assurance-maladie auprès de laquelle la personne est assurée au moment de la réception du traitement, à la première demande de l’assureur. L’assureur est alors informé du montant du remboursement. La TVA ne peut pas faire l’objet d’une demande de remboursement en plus de cette partie du prix de fabrication. La demande de remboursement doit être faite dès l’administration.
• en association avec un inhibiteur de l’aromatase en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne chez les femmes ou une monothérapie avec tamoxifène chez les hommes n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. Chez les femmes postménopausées et les hommes, l’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.01
• en association avec le fulvestrant en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne chez les femmes ou une monothérapie avec tamoxifène chez les hommes n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. L’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.02
• en association avec le fulvestrant en première ligne, en cas de récidive pendant la thérapie endocrinienne néoadjuvante ou adjuvante ou dans les 12 mois après l’arrêt de la thérapie endocrinienne adjuvante.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.03
• en association avec le fulvestrant en deuxième ligne, lorsque la thérapie endocrinienne a déjà été utilisée au stade métastatique en première ligne.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.04
Aucune utilisation en cas de progression après une thérapie antérieure avec un inhibiteur des kinases cycline-dépendantes (CDK) 4 et 6.
Les patients devraient être traités jusqu’à progression de la maladie.
Pour chaque boîte de Kisqali achetée, Novartis Pharma Schweiz AG rembourse une partie fixe du prix de fabrication à l’assurance-maladie auprès de laquelle la personne est assurée au moment de la réception du traitement, à la première demande de l’assureur. L’assureur est alors informé du montant du remboursement. La TVA ne peut pas faire l’objet d’une demande de remboursement en plus de cette partie du prix de fabrication. La demande de remboursement doit être faite dès l’administration.
• en association avec un inhibiteur de l’aromatase en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne chez les femmes ou une monothérapie avec tamoxifène chez les hommes n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. Chez les femmes postménopausées et les hommes, l’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.01
• en association avec le fulvestrant en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne chez les femmes ou une monothérapie avec tamoxifène chez les hommes n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. L’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.02
• en association avec le fulvestrant en première ligne, en cas de récidive pendant la thérapie endocrinienne néoadjuvante ou adjuvante ou dans les 12 mois après l’arrêt de la thérapie endocrinienne adjuvante.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.03
• en association avec le fulvestrant en deuxième ligne, lorsque la thérapie endocrinienne a déjà été utilisée au stade métastatique en première ligne.
Le code d’indication suivant doit être transmis à l’assureur-maladie: 20682.04
Aucune utilisation en cas de progression après une thérapie antérieure avec un inhibiteur des kinases cycline-dépendantes (CDK) 4 et 6.
Les patients devraient être traités jusqu’à progression de la maladie.
Pour chaque boîte de Kisqali achetée, Novartis Pharma Schweiz AG rembourse une partie fixe du prix de fabrication à l’assurance-maladie auprès de laquelle la personne est assurée au moment de la réception du traitement, à la première demande de l’assureur. L’assureur est alors informé du montant du remboursement. La TVA ne peut pas faire l’objet d’une demande de remboursement en plus de cette partie du prix de fabrication. La demande de remboursement doit être faite dès l’administration.
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