Caractéristiques
Antinéoplasique, inhibiteur séléctif des kinases CDK4/CDK6
Ribociclib (200 mg)
ut Ribociclib succinate (254.40 mg) (w)
Cellulose microcristalline (H)
Hydroxypropylcellulose substituée à bas (H)
Crospovidone (H)
Magnésium stéarate (H)
Silice colloïdale anhydre (H)
enrobage:
Alcool polyvinylique (H)
Talc (H)
Lécithine (E322) (H)
gomme xanthane (H)
Titane dioxyde (E171) (H)
Fer III oxyde (E172) (H)
pro compr. obduct.
Nouveau principe actif (NAS)
Gesundheit & Schönheit > Santé Antinéoplasique, inhibiteur séléctif des kinases CDK4/CDK6, (Ribociclib (200 mg))
Pharmacode
Article
CHF
Cat. de remise
Cat. de remboursement
GTIN

7740179
blister 21 pce
1275.30
A
7680663770033
Pour le traitement des femmes pré-, péri- et ménopausées avec un cancer du sein localement avancé ou métastatique, positif aux récepteurs hormonaux (RH+) et négatif au récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2–):
• en association avec un inhibiteur de l’aromatase en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. Chez les femmes ménopausées, l’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.

Pour le traitement des femmes ménopausées avec un cancer du sein localement avancé ou métastatique, positif aux récepteurs hormonaux (RH+) et négatif au récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2–):
• en association avec le fulvestrant en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. L’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
• en association avec le fulvestrant en première ligne, chez les femmes avec une récidive pendant la thérapie endocrinienne néoadjuvante ou adjuvante ou dans les 12 mois après l’arrêt de la thérapie endocrinienne adjuvante.
• en association avec le fulvestrant en deuxième ligne, lorsque une thérapie endocrinienne a été initiée à un stade métastatique en première ligne.

Chez les femmes en pré- et périménopause, la thérapie endocrinienne doit être associée à un agoniste de LHRH (LHRH = Luteinizing Hormone-Releasing Hormone, hormone de libération de la lutéinostimuline).

Aucune utilisation en cas de progression après une thérapie antérieure avec un inhibiteur des kinases cycline-dépendantes (CDK) 4 et 6.

Les patientes devraient être traitées jusqu’à progression de la maladie.

Pour chaque boîte de Kisqali achetée, Novartis Pharma Schweiz AG rembourse une partie fixe du prix de fabrication à l’assurance-maladie auprès de laquelle la personne est assurée au moment de la réception du traitement, à la première demande de l’assureur. L’assureur est alors informé du montant du remboursement. La TVA ne peut pas faire l’objet d’une demande de remboursement en plus de cette partie du prix de fabrication. La demande de remboursement doit être faite dès l’administration.


7250881
blister 42 pce
2233.80
A
7680663770019
Pour le traitement des femmes pré-, péri- et ménopausées avec un cancer du sein localement avancé ou métastatique, positif aux récepteurs hormonaux (RH+) et négatif au récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2–):
• en association avec un inhibiteur de l’aromatase en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. Chez les femmes ménopausées, l’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.

Pour le traitement des femmes ménopausées avec un cancer du sein localement avancé ou métastatique, positif aux récepteurs hormonaux (RH+) et négatif au récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2–):
• en association avec le fulvestrant en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. L’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
• en association avec le fulvestrant en première ligne, chez les femmes avec une récidive pendant la thérapie endocrinienne néoadjuvante ou adjuvante ou dans les 12 mois après l’arrêt de la thérapie endocrinienne adjuvante.
• en association avec le fulvestrant en deuxième ligne, lorsque une thérapie endocrinienne a été initiée à un stade métastatique en première ligne.

Chez les femmes en pré- et périménopause, la thérapie endocrinienne doit être associée à un agoniste de LHRH (LHRH = Luteinizing Hormone-Releasing Hormone, hormone de libération de la lutéinostimuline).

Aucune utilisation en cas de progression après une thérapie antérieure avec un inhibiteur des kinases cycline-dépendantes (CDK) 4 et 6.

Les patientes devraient être traitées jusqu’à progression de la maladie.

Pour chaque boîte de Kisqali achetée, Novartis Pharma Schweiz AG rembourse une partie fixe du prix de fabrication à l’assurance-maladie auprès de laquelle la personne est assurée au moment de la réception du traitement, à la première demande de l’assureur. L’assureur est alors informé du montant du remboursement. La TVA ne peut pas faire l’objet d’une demande de remboursement en plus de cette partie du prix de fabrication. La demande de remboursement doit être faite dès l’administration.


7250906
blister 63 pce
3082.15
A
7680663770026
Pour le traitement des femmes pré-, péri- et ménopausées avec un cancer du sein localement avancé ou métastatique, positif aux récepteurs hormonaux (RH+) et négatif au récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2–):
• en association avec un inhibiteur de l’aromatase en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. Chez les femmes ménopausées, l’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.

Pour le traitement des femmes ménopausées avec un cancer du sein localement avancé ou métastatique, positif aux récepteurs hormonaux (RH+) et négatif au récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2–):
• en association avec le fulvestrant en première ligne, lorsqu’une monothérapie endocrinienne n’est pas indiquée pour des raisons justifiées. Pas d’utilisation en cas de crise viscérale. L’intervalle sans maladie après la fin du traitement endocrinien néoadjuvant ou adjuvant doit être > 12 mois.
• en association avec le fulvestrant en première ligne, chez les femmes avec une récidive pendant la thérapie endocrinienne néoadjuvante ou adjuvante ou dans les 12 mois après l’arrêt de la thérapie endocrinienne adjuvante.
• en association avec le fulvestrant en deuxième ligne, lorsque une thérapie endocrinienne a été initiée à un stade métastatique en première ligne.

Chez les femmes en pré- et périménopause, la thérapie endocrinienne doit être associée à un agoniste de LHRH (LHRH = Luteinizing Hormone-Releasing Hormone, hormone de libération de la lutéinostimuline).

Aucune utilisation en cas de progression après une thérapie antérieure avec un inhibiteur des kinases cycline-dépendantes (CDK) 4 et 6.

Les patientes devraient être traitées jusqu’à progression de la maladie.

Pour chaque boîte de Kisqali achetée, Novartis Pharma Schweiz AG rembourse une partie fixe du prix de fabrication à l’assurance-maladie auprès de laquelle la personne est assurée au moment de la réception du traitement, à la première demande de l’assureur. L’assureur est alors informé du montant du remboursement. La TVA ne peut pas faire l’objet d’une demande de remboursement en plus de cette partie du prix de fabrication. La demande de remboursement doit être faite dès l’administration.


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