Caractéristiques
Antinéoplasique, inhibiteur de la voie de signalisation hedgehog
Vismodégib (150 mg)
Cellulose microcristalline (H)
Lactose monohydraté (71.5 mg) (H)
Laurilsulfate de sodium (H)
Povidone K29-32 (H)
Carboxyméthylamidon sodique (H)
Talc (H)
Magnésium stéarate (H)
enveloppe de la capsule
Fer III oxyde (E172) (H)
Titane dioxyde (E171) (H)
Gélatine (H)
Encre
Gomme laque (H)
Fer III oxyde (E172) (H)
corresp.: Sodium (1.34 mg) (H)
Excip. pro caps.
Nouveau principe actif (NAS)
Gesundheit & Schönheit > Santé Antinéoplasique, inhibiteur de la voie de signalisation hedgehog, (Vismodégib (150 mg))
Thérapie
Pharmacode
Article
CHF
Cat. de remise
Cat. de remboursement
GTIN

5543573
boîte 28 pce
5255.45
A
7680624970014
ERIVEDGE est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints d’un carcinome basocellulaire avancé chez lesquels la chirurgie ou la radiothérapie ne sont pas envisageables.
Seulement après la décision préalable de prise en charge par la caisse maladie sur la base de la consultation du médecin-conseil.
Critères en faveur de la prise en charge:
1. Carcinomes basocellulaires métastatiques.
2. Carcinomes basocellulaires localement avancés pour lesquels un traitement chirurgical ou une radiothérapie ne sont pas adéquats:
2.a. Etat après l’ablation chirurgicale de plusieurs (> 5) carcinomes basocellulaires lorsqu’ils surviennent dans le cadre d’un syndrome génétique comme par ex. la naevomatose basocellulaire (syndrome de Gorlin-Goltz) ou dans le cadre du xeroderma pigmentosum.
2.b. Carcinome basocellulaire d’un diamètre d’au moins 10 mm ou carcinome basocellulaire récidivant après deux interventions thérapeutiques à visée curative (radiothérapie et/ou chirurgie) ou situé dans une zone corporelle où l’intervention à visée curative (radiothérapie et/ou chirurgie) pourrait conduire à des déformations ou des défigurations irréversibles. Dans ce contexte, les localisations problématiques sont par ex. la zone centrale du visage ou les oreilles, de même que les zones génitales, périanales ou proches des articulations (zone axillaire par ex.).
2.c. Carcinomes basocellulaires très évolués au moment du diagnostic, pour lesquels les procédés d’imagerie ou l’histologie révèlent une invasion des structures avoisinantes telles que les os, les nerfs ou la musculature et pour lesquels une intervention thérapeutique à visée curative (radiothérapie et/ou chirurgie) est douteuse.
2.d. Carcinomes basocellulaires prétraités à la fois chirurgicalement et par radiothérapie et qui, en raison de ce prétraitement, présentent une étendue tumorale difficile à délimiter autant d’un point de vue clinique que par les procédés d’imagerie.
2.e. Carcinomes basocellulaires chez des patients chez lesquels une radiothérapie est contre-indiquée.
3. Carcinomes basocellulaires avancés chez des patients chez lesquels une maladie sous-jacente relevant de la médecine interne ne permet pas de répondre d’une intervention chirurgicale ou d’une radiothérapie.